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C'est au sprint que s'est jouée la victoire aux 25 Heures VW Fun Cup. Sur la ligne d'arrivée, l'écart entre les vainqueurs - Bollen-Caprasse-Caprasse-Mondron (Allure 2) et Ferte-Illiano-Gervoson (SPI) - n'est que de 1''279 ! 

Ces deux équipages ont continuellement occupé les avant-postes avec deux autres... qu'on retrouve comme par hasard aux 3es et 4es places, Donniacuo-Bouvy-Piron-Dupont (Allure Kottage) et Crosset-Gressens-Fumal-Verbist (Colson Racing for Michel Simul) qui terminent également dans le même tour que les vainqueurs.

La 5e place revient à Van Impe-Bentchikou-Dupassage-Lalmand-Leenders (ash-PVI) devant Debrus-Radet-Baudart-Charlier (Côté Passion), Nava-Delrez-Chouvel-Chouvel (Acome racing with LVR), Danneels-Gilot-Danbeels-De Roeck (RPM Racing), Beighton-Noyce-Beighton-Bryant-Bryant (Team Tiger) impressionnants vainqueurs en Evo 1, De Fierlant-Schmetz-Grivegnée-Demortier-Verdonck (Racing Club Partners) et Jaspers-Nulens-Galand-Bouche-Janssens (Jac Motors by MTE).

Zorza-Cappelli-Sordini-Ragginger (8KS Corse) sont 22es du classement final et l'emportent en Evo 2 tandis que Vercammen-Lémeret-Coppieters-El Azhari-Vaxelaire (CarPass LRE by DRT), 33es, triomphent en biplaces dans une édition marquée par une météo changeante qui n'a pas vraiment facilité la tâche des participants. 

Le Finlandais Toomas Heikkinen (VW Polo) est devenu le sixième vainqueur différent en six manches du championnat mondial de rallycross en catégorie Supercar. Il a émergé dans la finale à Mettet, prenant la mesure de Timmy Hansen (Peugeot) et Johan Kristoffersson (VW Polo). Longtemps leader, Petter Solberg (Citroën DS3) a dû se contenter de la 4e place après avoir effectué les deux derniers tours et le joker lap avec une suspension arrière droite cassée. Anton Marklund (VW Polo) et Pontus Tidemand (Audi S1) complètent le classement de cette finale pour laquelle n'était - entre autres - pas qualifié Reinis Nitiss (Ford Fiesta), le leader du championnat.

Aucun Belge n'était parvenu à franchir le cap des séries, François Duval (VW Polo) occupant le 17e rang au terme des quatre manches qualificatives après avoir perdu gros dès la première (abandon, triangle de suspension cassé dans un accrochage). Le pavillon belge a toutefois été sauvé par l'inattendu Filip Baelus (Volvo C30) vainqueur absolu en Touring Car. Notons enfin que le Letton Janis Baumanis (Renault Twingo) s'est imposé en S1600.  

Maxime Martin a remporté sa première victoire en DTM en dominant la course disputée à Moscou, malgré deux neutralisations. Il l'emporte devant Bruno Spengler (BMW) et Mattias Ekström (Audi).

Après la deuxième neutralisation, Maxime s'est isolé en tête et n'a plus été rejoint, franchissant la ligne avec plus de 4 secondes d'avance sur Bruno Spengler tandis que Mattias Ekström (Audi) complétait le podium en battant d'un souffle Marco Wittman (BMW); Devant Nico Müller (Audi), Christian Vietoris (Mercedes), Pascal Wehrlein (Mercedes), Edoardo Mortara (Audi) et Augusto Farfus (BMW).

La course a été raccourcie à 46 tours car elle avait atteint la limite des 70 minutes.

Marco Wittman reste leader du championnat avec 70 points devant Mattias Ekström (50), Bruno Spengler et Edordo Mortara (41 chacun). Maxime Martin est sixième avec 33 unités.

Freddy Loix (Skoda Fabia S2000) a remporté pour la neuvième fois le rallye d'Ypres. Il s'est imposé devant un excellent Cédric Cherain (Ford Fiesta R5 +1'09"9), Sepp Wiegand (Skoda Fabia S2000 +2'14"2), Hermen Kobus (Ford Fiesta S2000 +2'32"5), Luca Rossetti (Skoda Fabia S2000 +3'44"5), Davy Vanneste (Peugeot 207 S2000 +5'25"4), Andy Lefevere (Mitsubishi EvoX R4 +6'11"5), Didier Duquesne (Ford Fiesta R5 +6'53"2), Mélissa Debackere (Peugeot 207 S2000 +6'59"7) qui a connu une grosse alerte avec des soucis de moteur et d'huile à l'arrivée de la dernière spéciale, et Jaroslav Orsak (Skoda Fabia S2000 +9'01"4). Classé 13e, Kevin Demaerschalk (Peugeot 208 R2) s'impose en 2 roues motrices.

Les Photos seront bientôt disponible ici.

Comme prévu, les Citroën C-Elysée ont dominé la concurrence lors de la manche belge du WTCC disputée dans des conditions idéales à Spa-Francorchamps et devant un public bien plus nombreux que ne le redoutaient certains...

Dans la première course, Yvan Muller s'est rapidement installé en tête et a creusé un petit écart sur ses équipiers Sébastien Loeb et José-Maria Lopez, en pleine explication. Après avoir tenté plusieurs fois de trouver l'ouverture, l'Argentin a fini par surprendre son concurrent alsacien par un freinage de grand garçon aux Combes et il a franchi la ligne en 2e position, à 03"689 du vainqueur, tandis que "Seb" terminait à 04"318. Derrière les trois pilotes Citroën, on pointait dans l'ordre Gianni Morbidelli (Chevrolet +21''125), Tom Coronel (Chevrolet +21''998), Tiago Monteiro (Honda +22''071), Norbert Michelisz (Honda +23''517), Gabriele Tarquini (Honda +24"350), Dusan Borkovic (Chevrolet +30"094) et Tom Chilton (Chevrolet +30"940). A noter que Hugo Valente (Chevrolet) avait suivi à courte distance le "train" Citroën avant d'être pénalisé d'un drive-through pour être trop fréquemment sorti des limites de la piste.

Au départ de la seconde confrontation, Gianni Morbidelli n'a guère profité de sa pole (top 10 des qualifs inversé) puisqu'il s'est fait immédiatement surprendre par Tom Coronel. Ce dernier s'est assuré jusqu'à 3 secondes d'avance... mais dans le peloton, José-Maria Lopez traçait sa route avec autorité et remontait imparablement vers la 1ère place. A deux tours de la fin, il s'installait en tête et filait vers la victoire, l'emportant devant Yvan Muller (Citroën +03"097) et Tom Coronel (Chevrolet +08"409). Venaient ensuite Tiago Monteiro (Honda +08''912), Sébastien Loeb (Citroën +09"060), Gianni Morbidelli (Chevrolet +16"851), Norbert Michelisz (Honda +17"929), Gabriele Tarquini (Honda +19"026), Hugo Valente (Chevrolet +20"500) et Tom Chilton (Chevrolet +21"187).

L'Audi R8 LMS Ultra du Phoenix Racing pilotée par René Rast-Markus Winkelhock-Christian Mamerow-Christopher Haase a remporté les 24 Heures du Nürburgring après avoir occupé les avant-postes durant la plus grande partie de la course et battu le record à la distance avec 159 tours soit 4035,102 km.

La 2e place  est revenue à la Mercedes SLS Black Falcon de Bleekemolen-Simonsen-Menzel-Arnold qui a maintenu la pression sur la R8 victorieuse jusqu'au bout, ne s'inclinant finalement que de moins de 3 minutes. Une autre Mercedes SLS, alignée par le Rowe Racing et confiée à Zehe-Hohenadel-Bastian-Engel, complète le podium à 2 tours.

Elle devance au classement final la Porsche 997 GT3-R Falen de Henzler-Dumbreck-Ragginger-Imperatori, l'Aston Martin Vantage de Turner-Mücke-Lamy et l'unique rescapée des BMW Z4 officielles, la Schubert de Klingmann-Baumann-Hürtgen-Tomczyk. Celle-ci a longtemps menacé l'Audi victorieuse mais un drive-through puis des problèmes de direction (après un contact avec une Porsche) ont ruiné ses chances.

On pointe ensuite la Mercedes SLS HTP de Primat-Götz-Heyer-Rehfeld, la BMW Z4 de Stuck-Sandritter-Brück-Rostek et les deux Audi R8 LMS Ultra de Baumgartner-Werner-Biela-Käffer et Busch-Busch-Lauck-Landmann.

Comme à Silverstone un mois plus tôt, une Bentley Continental GT3 s'est imposée dans la troisième manche des Blancpain a Paul Ricard.

Le début de course a pourtant été dominé par la McLaren d'Alvaro Parente mais la Bentley a pris l'avantage durant le deuxième relais, Grégoire Demoustier ne pouvant tenir le même tempo qu'Alvaro Parente. La dernière heure de course a été marquée par un duel entre Steven Kane et Nicolas Lapierre mais malgré tous ses efforts, celui-ci a échoué à une grosse seconde du Britannique qui a offert un deuxième succès consécutif à la Bentley.

Jusqu'à l'entrée du dernier tour, Nico Verdonck (Mercedes) est parvenu à préserver sa 3e place mais il s'est incliné face à son équipier Sergey Afanasiev et a franchi la ligne en 4e position.

Laurens Vanthoor se classe 13e, juste devant Stéphane Lémeret et Michael Albert (Ferrari). En Pro-Am, la course a été gagnée par le duo Henry Hassid-Nick Catsburg (BMW), Fred Vervisch (McLaren) termine 21e, Christian Kelders (Audi) 27e et Bernard Delhez (Ferrari) 29e.

Jérôme D'Ambrosio (Bentley-notre photo B. Decanq-SRO) a renoncé sur ennuis de transmission alors qu'il signait un relais de toute beauté puisqu'il venait de se hisser dans le top 5 et croisait le fer avec les pilotes des Mercedes SLS de pointe.